# A New Day.

Belle journée qui debutait en ce matin d'Automne, en Septembre. Les rues pavés du Chemin de Traverse, semblait si diffèrente que celle de l'ancien monde où vivait Elza et sa soeur Ema. Pourtant ils se ressemblaient, mais ici tout semblait plus...Magique. Vetû déjà de son uniforme, elle marchait dans la rue, les bras chargeait de fourniture. Ses yeux azur petillaient. Rêveuse comme elle était, Elza ne vu pas une legère faille entre les pavés, et trebucha. Ses affaires s'epparpillèrent autour d'elle, et sa souris fétiche, paniqua entre les bareux bleu de sa cage. Tout était coloré, tout fantasitque et originale. Elle se hâta de ramaçait ses affaires, sous le regard moqueur des autres, et comme-ci elle ne parvenait pas à comprendre que c'était pour elle qu'on riait, elle fit de même, d'un rire joviale et doux. Elle n'avait jamais pris garde aux critiques, elle s'en fichait. Elle et Iris, sa sourissette, se suffisait. Une douce melodie chantait à ses oreilles, et sa cape trop longue balayait le sol. Elle se leva, et tourna sur elle même, pour contempler le lieux, sous la curiosité de la foule. Première année. Sa soeur, Ema, conaissait déjà tout de Poudlard, et même si toute deux étaient jumelles, elles étaient radicalement diffèrente. Elza n'avait pas vraiment de famille, ses parent l'ignorant par sa personalité si speciale, et sa soeur la meprisant. Ema avait tout pour plaire. La beauté, l'intelligence, l'amour, et la popularité. Elza, elle, avait ses rêves, et elle s'en contentait. Elle jeta un coup d'oeil à sa liste, maintenant trempé. L'encre avait bavé, mais Elza garda son sang froid. D'une main hesitante, qui constatait ce qu'elle avait dans ces bras, sans faire de grand mouvement par peur de tout faire tomber. La Jeune fille, s'installa sur un banc. Il lui restait du temps considèrable. Caressant Iris entre les bareaux, elle se laissa tomber sur le bois. Elle observait les Premières années, qui s'agitaient, secouant leur parent pour s'activaient, ou courant avec leurs nouveaux amis. Puis ceux qui retournait à Poudlard pour une seconde ou autre fois, l'aire sereine, et heureux de retrouvait ceux qui leur manquait, embrassant l'un, saluant d'un serrement de main l'autre. Ah. Enfin. Elle rentrait dans ce monde de sorcelerie. Son regard enfantin coula le long des gens, veut comiquement...Enfin pas si comiquement qu'elle. Debraillé, une pince qui ne tenait que le tier de ses cheveux blé, et des mèches qui retombait peu estethiquement sur ses yeux bleuté.

Marchant sur ces pavés en tout point semblables à ceux où venait de tomber Elza, un gamin d'un peu plus d'une dizaine d'années avançait, ses bras maigrichons tenant tant bien que mal un immense sac où étaient rangés ce qu'il avait déjà put acheter.

Il était venu avec sa mère,mais bien vite celle-ci l'avait abandonné dans son coin pour observer des vitrines plus intéressantes, remplies d'objets inintéréssants pour un garçon de 11 ans. Un peu à contre-coeur,Peter avait du tout se procurer...seul. Et conaissant l'ahurissante timidité du garçon,c'était guère quelque chose de facile... Le nez plongé au milieu de tout ce que contenait le sac, le garçon faisait l'inventaire de ce qui lui manquait,donc de trop nombreux livres, deux ou trois babioles...Et sa baguette. Il avait décidé de la laisser pour la fin,sa baguette .Il aurait voulu quelqu'un de bien attentionné pour l'acompagner x) En passant devant la boutique que lui avait désigner sa génitrice, il s'était senti mal à l'aise,en voyant tous ses rayonnages plongés dans une semi-obscurité, où des millions de petites boîtes longues et fines s'entassaient jusqu'au plafond. Comment trouver sa baguette à lui,dans tout ce fouilli?

Pour l'instant,ce n'était pas la question qu'il se posait,il était bien trop occupé à observer un groupe d'enfants bruyants qui courraient dans les rues en bousculant les plus âgés. Et distrait par ce spectacle,il eut la malchance de trébucher sur la même faille qu'Elza précédament. Cependant, il retrouva son équilibre, sans laisser rien tomber. Dommage,il n'avait pas retenu un cri de surprise,et n'avait surtout pas manqué de se ridiculisé un peu. Baissant les yeux, pour éviter de rougir,il continua son chemin,essayant d'ignorer les remarques ironiques qui lui avaient été tantôt lancées. Il posa son sac trop lourd sur un banc pour vérifier que rien n'était tomber (et par la même occasion perdu),au coin opposé de l'endroit où était assise une jeune fille blonde, a l'allure dépareillée.
Il évitait de croiser son regard.Après tout,ces étranges créatures qu'étaient les filles lui faisaient presque peur.

( Koumy,je pourrais te demander de faire des paragrapheuuuhs? ^^ )

Elza remarqua parmis la foule qui maintenant ignorer son existence, un jeune garçon d'un peu près son âge, qui semblait lui aussi avoir quelques difficultés avec l'inventaire de ses affaires. En y repensant d'ailleurs, elle n'avait même pas prit le temps de voir ce qui lui manquait. Elle fouilla entre ses livres de sorcelerie et de botanique, commençait legèrement à paniquée. Il lui manquait quelque chose s'était certains. Introuvable ! Mais oui sa baguette ! Elle ne savait pas où elle l'avait mis. Pourtant elle l'avait acheté, et avait patienté un long moment avant que le veil homme lui ouvre une boite blanche avec une courte baguette, qui s'était ajustait vif à sa main. Non de Dieu ! Où l'avait elle mis. Elle passa nerveusement sa main entre ses cheveux fin...Lorsque effleura au niveau de son oreilles droite, quelque chose de vernis et d'etroit. Elle tâta, avant de tirer. Sa baguette ! Elle poussa un soupir de soulagement, lorsqu'un cris de surprise la fit trassaillir, et qu'elle lâche sa baguette.

Devant elle se tenait le garçon aux regard bleu, en equilibre, tenant precieusement ses livres serrer contre sa poitrine. Elle voulut lui venir en aide, mais se souvint qu'elle se faisait souvent crier dessus, en raison qu'IL, eux, les garçons pouvaient se debrouiller. Mais, biensur si ça avait été Ema, ils auraient sauté sur l'occasion pour discuter avec elle, et la remerciée gentiment, legèrement honteux. Elza, haussa des épaules, pour se dissuader d'aller l'aidé. Elle s'appreçut qu'après, que sa baguette rouler au sol. Hé bien, pour un debut elle subissait déjà beaucoup ! Elle se pencha vif sur celle-ci, et glissa ses doigt fins entre les pavés, extripant sa bagutte. Pff. Elle se laissa tombée sur le banc, lorsqu'elle remarqua qu'entre temps Peter s'était à son tour installé. Etonné, elle empila ses affaires pour lui laissaient plus ample de place. Iris grimpait à ses bareaux, s'ennuyant amerement, lorsqu'Elza, la posa sur ses genoux. La plus part des gens avaient horreur des souris, même les sorciers parfois. Elle, malgré leur longue queue sans poil, elle les aimait. Apperement le garçon ne semblait vouloir lui adressait la parole. Elza n'en fut guère surprise, et raptrilla toutes ses affaires dans un grand sac en tissus à bandaulière, qu'elle hissa sur ses épaules. Pourtant, l'envie de lui adressait la parole la tenta. Après, tout qui ne tente rien n'a rien. Elle tourna son regard rayonnant, vers lui, et posa une question sans doute banale, et stupide mais, elle le questionna malgré tout, s'était déjà ça:
- Tu rentres aussi pour la première fois ?

A son grand soulagement, ~~Elza avait fait des paragraphes~~ tout ce qu'il avait jusqu'à présent acheté était soigneusement rangé dans le sac. Bien,il pouvait continuer! Il empila tant bien que mal tous les paquets les uns sur les autres,et se redressa en jettant un dernier coup d'oeil à la jeune fille étrange. L'air particulièrement ridicule à peiner sous le poids pourtant pas exagéré du sac,il s'apprêta à repartir,retrouver sa mère,de préférence. C'est alors qu'une petite voix l'arrêta dans son élan,ce qui l'imobilisa sur place,brusquement tout raide xD Il se retourna vers Elza,peut être un peu trop vite,car le sac manqua de lui glisser des mains. Dans un sursaut de désespoir, il parvint à rattraper le tout xD,avant de la regarder.

Certes,elle était vraiment bizarre, avec son grand regard bleu et ses cheveux blonds mal coiffés. Certes,elle avait l'air originale,comme le prouvait la singulière couleur de la cage où était enfermée une sourie grise. Mais ce n'était pas monstre non plus.Pour éviter de croiser son regard,c'est le petit rongeur qu'il regarda. Peter n'avait pas le moindre dégoût pour ces bêtes là. Après tout,quand on l'apparentait à un animal,c'était tout de suite ce genre de bête qui vennait à la tête des autres,à cause des petits yeux humides du garçon et de sa voix couinante pas des plus élégantes x) Il finit par se décider à répondre,après avoir passé en revue la moindre moustache de la souricette:

- Ou...Oui,je "rentre" pour la première fois...

Histoire de ne pas ressembler au garçon qui n'avait que l'envie de s'éloigner des gens,il continua le début de conversation avec une simple question,tout aussi bête et banale que l'avait été celle d'Elza:

-Tu voudrais être dans qu'elle maison?

Je vous l'accorde,c'est bel et bien LA question la plus intelligente,la plus originale et surprenante qu'il est jamais posée x)

Elza le vit se lever, et fut deçu. Après tout comme elle, au depart, il s'était assis pour prendre une courte pose, et verifier que toutes ses affaires tenaient entre ses bras. Elle souria, etrangement. Sans doute par ironie de l'habitude. Hé bien, elle non plus n'avait plus rien à faire assise. Elle se leva, et se dirigea à pas peu assurée vers... Où d'ailleurs ? Elle ne savait pas. Tant qu'elle pouvait evité le regard de celui qui l'ignorait. Mais à sa grande surprise, une voix resonna, et un son, resumant une surprise reciproque chez lui, la fit se retourner. Il était face à elle, jetant un regard neutre vers Iris. Drôle de nom pour une souris n'est ce pas ? C'est tout simplement, car lorsque sa soeur et elle, ainsi que ses parents étaient allés en voyage dans un coins depaysant de leur ville sympathique, alors qu'ils dejeunaient tous dans un café sur la route racailleuse, et qu'Elza avait fini son repas, elle était sortit dehors, sous le regard indiffèrent de ses parents. Oui, elle pouvait tout faire, cassé un vase, sortir subitement de table, s'en aller plus tôt de chez elle, ou revenir plus tard, ses parents ou sa soeur ne ferait que dressé un regard, comme ceux qu'on adrese aux inconnu avant de reprendre leurs occupations. Donc, elle sortait à l'exterieur de l'interieur (x]) et alors qu'elle s'asseya dans l'herbe d'un champs fleurit bordant le chemin mal tracé, un bout de pain epicé à la main, deux moustaches apparurent à l'entrée d'un trou. Après avoir tendu sa main sans inquiètude, et par un miracle dont on ne sait d'où la souris sortit et se percha curieuse dans la paume de la fillette qui riait, et souriait.

Enfin bon ça c'est l'Histoire d'Iris, et de son nom. Elza, donc surprise, ce qui était etonnant car elle était souvent inddifèrente à la plus part des choses, et des gens surtout, pivota sur elle, même, la cage à la mains, le regard bleuté posé sur ceux grisé bleu de Peter. Ainis elle le devisagea plus precisement, sans croisé son regard à son tour. Il était "clean", bien vetû. Elza pu toute suite constaté qu'au contraire d'elle, les parents de son interlocuteur s'occupé de lui.Elle jeta alors un coup d'oeil à son accoutrement, et il fut vrai qu'elle eut un peu honte. Mais bien vite elle oublia se detail qui ne l'avait jamais derangé, et ce ne serait pas ce garçon qui changerait cela, et esquissa un sourire amical. Il posa une question, qui malgré son manque d'originalité semblable à sa precedente question, l'etonna. Jusque là, elle ne s'était pas precisement posé la question. Sans doute car personne ne lui avait posé. Elle retint un mouvement d'epaule. Il aurait été vraiment idiot d'hausser les épaules, sans réponse, cela aurait prouvé qu'elle s'en fichait bien de Poudlard, alors qu'elle attendait ce moment depuis si longtemps. Serpentard, ne convenait pas à sa personalité, et elle savait parfaitement que le nommé choixpeau ne la dirigerait pas vers là. Serdaigle, demandé du courage, et bien qu'elle en avait, c'était uniquement pour defendre ses amis. Alors l'hesitation se faiait entre Poufsouffle et Griffondor. Elle répondit donc, deroutée que quelqu'un lui parle enfin:- Bah, j'hesite encore, entre Poufsouffle et Griffondor. Et toi ?
Aucun d'eux jusque là avait posé la question stupide, de savoir quel était leur appelation.

Pour dire la stricte vérité, les parents de Peter ne s'occupaient pas tellement de lui:ils lui fournissait de quoi manger,s'habiller et j'en passe,mais ça n'allait pas plus loin. L'affection que lui portait sa mère ne paressait pas le moins du monde sincère,et elle semblait s'inrésser plus à ses habits qu'à son fils. Avec le temps,ce dernier était venu à en penser que ça aurait put être pire,ou même que c'était normal. Voilà pourquoi Peter ressentait le besoin d'être avec les populaires,les connus. Ca le changeait de l'atmosphère de chez lui,entre un père paresseux et un mère à la fois sérieuse et exentrique.

Fixant toujours la souris dans sa cage,il se demanda lui où il aurait aimé finir. Il aurait aimé appartenir à Griffondor,ou Serdaigle,maisons respectives de ses ancêtres. Cependant,il n'avait pas le courage des Griffondors ni le savoir des Serdaigle. Cependant,il était loin aussi d'être comme les Serpentard.D'une voix qui se voulait légère,il dit:

-Je pense que je serais à Poufsouffle.

Dans le fond,ça ne l'enchantait pas. Il aurait aimé être aussi intelligent,aussi beau que les personnes qu'il admirait. Il n'en était malheureusement pas capable. Détournant le regard de lasourie,il plongea le nez dans son sac,soudainement fasciné par son contenu. Il était vrai que quelques robes de sorcier,c'était fantastique x) . Etant complètement à cour d'idée en questions banales,et oubliant de demander l'identité de son interlocutrice, il hésita puis demanda,indiquant Iris:

-Il a un nom?

C'était certes mieux que lui emander si toute sa famille avait ce goût au niveau de la coiffure,ou encore de lui demander si on lui avait jeter un sort,quand elle était jeune,pour qu'elle soit aussi bizarre,même si ces deux questions dénuées de gentilesses ne viendraient jamais à l'esprit de Peter.

Peter comme Elza, ne semblait pas très proche de ses parents. Or Elza, elle n'avait même pas d'habit, ou d'achat pour elle, enfin biensur lorsque sa mère achetait des affaire pour Emas et qu'elle trouvait quelque chose pour la taille plus petit d'Elza, elle l'achetait, mais ce n'était pas frequant. La plus part du temps elle recuperait les habits trop petit de sa soeur, et ne s'en plaignait guère. Elle avait toujours admirait la carrure fine et longue de sa soeur, ainé de quelque minute. Oh, Elza n'était pas grosse, même pas emrobé ou boulotte, elle était aussi mince, mais plus petite, et au visage à la teinte plus banale. Et puis elle n'avait pas les longs cils, et les lèvre rouge naturelement de sa soeur. Oui, en claire elle n'était pas si belle, si parfaiiite. Cependant si elle jetait un regard dans la glace de sa chambre personalisé à son gout, d'un turquoise azur, elle s'aimait comme elle était. Malgré quelque defaut, et quelques imperfction, comme sa peau pâle, elle était bien.

Passont ne nous equartons pas du sujet. Peter parlait de Poufsouffle, et Elza en fut d'abord ravis, se disant que si il souhaitait cette maison, le choixpeau le placerait peut être avec elle là bas. Seulement un "d'abord" et toujous suivit d'un "mais ensuite". Donc mais ensuite, levant son regard vers lui, elle comprit que ce n'était pas dans sa volonté. Attristé et déçu, elle se sentit alors stupide. Si il n'aimait pas cette maison vraiment, c'est qu'il ne l'aimerait pas un peu elle. Pour une fois, que quelqu'un lui parlait. Une profonde expression opposé de la precedente se creusa dans son visage feminin. Elle laissa echapé en guise reponse un "Ah", sans conviction. Mais après tout, même si ils n'étaient pas dans la même maison, il pourrait toujours se voir, non ? Elle fut soulagée, resouraitn à nouveau. Encor fallait-il que lui en ai envi. Oui, elle s'attachait facilement aux gens. Elle jeta un regard derrière, sentant que quelqu'un posait ses yeux sur elle, en riant. Lorsqu'elle se tourna, elle croisa le regard de sa soeur, qui courrait le long des boutiques, déjà avec un attroupement de fille à ses côtés. Soupirant, ce fut la question de Peter qui la fut revenir.
De ses paroles, il montrait la sourie, et Elza, ressera alors insctinctivement sa paume contre le metal vernis, et la souleva avec difficulté, menaçant de faire tomber le reste de ses affaires, et de les epparpiller une seconde fois sur le sol. Elle contempla Iris, qui s'était dressé sur ses pattes arrière et se dandinait comiquement, son regard rare argent se posant sur ceux grisé de Pettigrow. Elza ria, d'un rire cristallin et enfatin, rassurant, comme-ci cette question elle même la rassurée, la mettait en confiance. Passant ses doigt entre les bareaux elle caressa le poil blanc aux reflets cris, de la petite femelle. Puis elle répondit avec joie:
- Iris. Et toi tu n'en n'as pas ?

Le garçon,lui,était fils unique. Et d’une certaine façon,c’était encore pire que d’avoir une insupportable sœur ou un énervant grand frère. Un frère amenait souvent une plus grande confiance en soit, une détermination plus grande, gagnée par la volonté de frapper l’être familial détesté.

Peter regardait la souris d’un air curieux,à présent,même si ce regard était véritablement destiné à Elza,derrière la cage à l’étrange couleur bleu. La blondinette x) avait eut une étrange réaction quand il parla de Poufsouffle. Elle adopta à la suite un air ravie,puis déçu,et finalement normal. Ne sachant trop quoi en penser,Peter baissa les yeux vers les pavés qui avaient été blancs,un jour. A présent,salis par les millions de pied qui s’y posaient,il avait prit une couleur grise,et marron par endroit. Peter aurait bien continuer la contemplation quasi religieuse du sol boueux si Elza n’avait prit la peine de lui répondre,au sujet de son petit animal de compagnie,avant d’enchaîner avec une nouvelle question,qui si elle n’était pas la plus banale des banales,collait bien avec le sujet précédemment approché. Rapidement,il jeta un coup d’œil circulaire autour de lui,comme si il avait voulu apercevoir sa mère dans ce fouillis,mais il ne vit que de nombreux adultes ou adolescents qui marchaient en se bousculant mutuellement et pas loin,un groupe de fille,ce qui eut l’effet de lui faire brusquement détourner les yeux vers Iris avant de répondre :

-Non,pas encore… Mais je pense aller dans la boutique aujourd’hui…

Il voyait mal ce qu’il pourrait y trouver,en sachant qu’il était vaguement allergique aux poils de chats, avaient développé une certaine peur des rapaces nocturnes –a cause de ce celui de sa mère qui lui disputait sans cesse son repas. On comprenais alors soudain l’embonpoint de la chouette – et avait une certaine répugnance pour les batraciens quelconques. Et d’un autre côté,il n’aimait pas voir un animal enfermé,même dans un grand espace. Donc, la morale de l’histoire,c’est : Peter n’aura jamais le moindre animal et c’est peut être mieux ainsi x)